la vie de l’atelier

1989, l’été est chaud, trés chaud, le bel atelier est achevé depuis 6 mois, le mastic commence à se ramollir et les verres à descendre. Les sacs de terre à gauche, servent de contrepoids pour les empêcher de glisser.



7 Novembre, je suis arrivé ce soir au 16/27eme, passé une période de découragement, je commence a y voir plus clair et ai trés envie de me remettre à un travail plus créatif.

Le jeu consiste en ceci: Démonter les verres sans les briser, et croyez moi, le mastic colle au bois, au verre, aus doigts, aux cheveux, au sol, bref c’est une vraie galère.

Nettoyer les verres.

Couper les bois pourris et les greffer (ah si j’avais connu le pin Douglas à l’époque, la charpente serait en meilleur état).

Poser les bandes de mousse à cellules fermées censée rendre l’étenchéïté parfaite.

Faire les joints de silicone.

Visser les pares closes, en chêne cette fois, recouvertes de 4 couches de peinture.( je ne voudrais pas recommencer dans 20ans...)

Vitesse moyenne, 2 jours par travée, et seulement quand il fait beau, alors cette année, c’est pas gagné...

Pour l’instant c’est un peu le bazar

Mais çà va s’arranger...

Reflets